dimanche 23 octobre 2011

CAMEROUN : L’HOMOSEXUALITE EST-ELLE UN MOYEN D’IMMIGRATION ?


CAMEROUN : L’HOMOSEXUALITE EST-ELLE UN MOYEN D’IMMIGRATION ?
Au Cameroun, l’homosexualité est punie de 6 mois à 5 ans de prison avec une amende variant de 30 à 300 euros pour tous ceux qui en sont coupables tandis qu’elle est reconnue dans presque tous les pays occidentaux par exemple. Ce qui fait penser à une seule chose de la part des partisans de cet acte : s’envoler en occident pour se livrer librement à ses plaisirs. Les principaux partenaires  des Camerounais étant des expatriés occidentaux, la tentation est donc forte de vouloir s’en aller avec lui, quelque part, dans un pays officiellement non homophobe.
Ceci dit, des Camerounais donc « entrent » dans l’homosexualité ou mieux deviennent homo tout simplement parce qu’ils guettent au bout une immigration en Europe ou ailleurs synonyme de paradis sexuel où ils pourront s’en donner à cœur joie avec leur  conjoint, dans la prostitution masculine ou tout simplement dans la pornographie. Des pionniers dans ce genre nouveau d’immigration sont bien connus, comme cet ancien journaliste de Canal 2 .L’homosexualité n’est plus tout simplement une affaire de « malades » dont la psychanalyse disait que la libido est restée coincée au stade anal, mais c’est surtout, du business ; une affaire d’argent. Il se fait payer cher l’homo Camerounais, bénéficie des avantages, promotions et autres missions en tout genre dans son entreprise quand tout simplement il n’a pas été recruté pour son derrière. Homo, ça rime avec blanc, fric, chic, occident. ..
En 2007, un rendez homo au Hilton Yaoundé avait tourné à la catastrophe. Toujours est –il qu’un industriel riche et puissant s’y trouvait et que la victime était en chômage…
Mais comme tout paradis, il y a son chemin de croix pour y arriver. Il faut, quand on demande asile dans un pays occidental, prouver qu’on est homo et menacé. Et pour obtenir une preuve indubitable, il faut se faire mettre le grappin dessus par la police et se faire emprisonner comme c’est le cas pour beaucoup actuellement. Deux jeunes homos se sont faits arrêtés à Yaoundé en pleine soirée dans leurs ébats à ciel ouvert face à la route nationale par le B.I.R.Il ne faut pas être sage pour comprendre que tout est préparé d’avance, à l’approche du pick-up de la police.
 Le désormais fameux article 347 bis du code pénal, qui bénéficie de l’onction suprême du clergé Camerounais, est le maître censeur dans ce cas, et sa main est lourde, très lourde même. Au sortir de ce parcours du combattant, le prétendant à l’immigration aura emmagasiné tant de preuves qu’il se verra les portes d’un pays d’accueil ouvertes  pour peu qu’il y trouve l’hébergement. Des associations de lutte contre l’homophobie sont des véritables mines d’or qui fournissent soutiens en tout genre aux clients à l’immigration. Reste à voir s’il n’y a pas de sous-entendu.
Les jeunes donc se font homosexuel aujourd’hui pour immigrer, où que ce soit, pourvu qu’ils puissent améliorer leurs conditions de vie.

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