Bientôt un préservatif aux tendons de boeuf qui ne diminue pas le plaisir ?
La fondation Bill Gates subventionne ce
projet dont l'objectif est d'encourager encore plus de personnes à
mettre des préservatifs.
Oui !
Comment encourager
encore plus de gens à utiliser des préservatifs ? En les améliorant de
manière à ce qu'ils ne gâchent plus le plaisir, répondent les
fabricants. C'est dans cet esprit que la fondation Bill et Melinda Gates
a décidé de distribuer 1 million de dollars sous forme de subventions
pour aider à la création de ce nouveau type de protection.
Selon
le Dr Papa Salif Sow, membre de l'équipe du VIH à la Fondation Gates,
"l'analogie courante est que le port du préservatif, c'est comme prendre
une douche avec un imperméable. Un préservatif repensé qui permet de
surmonter la perte de plaisir serait une arme puissante" dans la lutte
contre les maladies sexuellement transmissibles.
Plusieurs
pistes vont donc être explorées pour fabriquer ce préservatif du futur.
La plupart des bénéficiaires de la subvention cherchent actuellement à
utiliser une autre matière que le latex. Les scientifiques de
l'Université de l'Oregon travaillent au développement d'un préservatif
ultra-mince fait de polymère de polyuréthane, une matière capable de
s'adapter à la forme qu'elle contient. Plus mince, le matériau agirait
comme une "seconde peau".
Même
idée du côté de l'Apex Medical Technologies, à San Diego, qui utilisera
sa subvention pour produire un préservatif masculin à l'aide des
fibrilles de collagène de tendons de vache. "La texture du collagène est
très semblable à la muqueuse (...) il ressemble beaucoup à la peau",
explique Mark McGlothlin.
D'autres bénéficiaires
ont pour objectif de révolutionner la manière d'enfiler le préservatif.
C'est ainsi qu'est né le "Rapidom", un préservatif qui se met à l'aide
d'un applicateur que l'on tire avec les deux mains et qui se détache une
fois la capote enfilée. "La séquence doit se dérouler logiquement et
naturellement", explique l'inventeur du Rapidom. Le produit doit d'ailleurs être testé dans des régions africaines "pauvres en ressources".
Read more at http://www.atlantico.fr/atlantico-light/sexe-bientot-preservatif-aux-tendons-boeuf-qui-ne-diminue-pas-plaisir-905173.html#QLixRTmtaoH1xPid.99
Bientôt un préservatif aux tendons de boeuf qui ne diminue pas le plaisir ?
La fondation Bill Gates subventionne ce
projet dont l'objectif est d'encourager encore plus de personnes à
mettre des préservatifs.
Oui !
Comment encourager
encore plus de gens à utiliser des préservatifs ? En les améliorant de
manière à ce qu'ils ne gâchent plus le plaisir, répondent les
fabricants. C'est dans cet esprit que la fondation Bill et Melinda Gates
a décidé de distribuer 1 million de dollars sous forme de subventions
pour aider à la création de ce nouveau type de protection.
Selon
le Dr Papa Salif Sow, membre de l'équipe du VIH à la Fondation Gates,
"l'analogie courante est que le port du préservatif, c'est comme prendre
une douche avec un imperméable. Un préservatif repensé qui permet de
surmonter la perte de plaisir serait une arme puissante" dans la lutte
contre les maladies sexuellement transmissibles.
Plusieurs
pistes vont donc être explorées pour fabriquer ce préservatif du futur.
La plupart des bénéficiaires de la subvention cherchent actuellement à
utiliser une autre matière que le latex. Les scientifiques de
l'Université de l'Oregon travaillent au développement d'un préservatif
ultra-mince fait de polymère de polyuréthane, une matière capable de
s'adapter à la forme qu'elle contient. Plus mince, le matériau agirait
comme une "seconde peau".
Même
idée du côté de l'Apex Medical Technologies, à San Diego, qui utilisera
sa subvention pour produire un préservatif masculin à l'aide des
fibrilles de collagène de tendons de vache. "La texture du collagène est
très semblable à la muqueuse (...) il ressemble beaucoup à la peau",
explique Mark McGlothlin.
D'autres bénéficiaires
ont pour objectif de révolutionner la manière d'enfiler le préservatif.
C'est ainsi qu'est né le "Rapidom", un préservatif qui se met à l'aide
d'un applicateur que l'on tire avec les deux mains et qui se détache une
fois la capote enfilée. "La séquence doit se dérouler logiquement et
naturellement", explique l'inventeur du Rapidom. Le produit doit d'ailleurs être testé dans des régions africaines "pauvres en ressources".
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Bientôt un préservatif aux tendons de boeuf qui ne diminue pas le plaisir ?
La fondation Bill Gates subventionne ce
projet dont l'objectif est d'encourager encore plus de personnes à
mettre des préservatifs.
Oui !
Comment encourager
encore plus de gens à utiliser des préservatifs ? En les améliorant de
manière à ce qu'ils ne gâchent plus le plaisir, répondent les
fabricants. C'est dans cet esprit que la fondation Bill et Melinda Gates
a décidé de distribuer 1 million de dollars sous forme de subventions
pour aider à la création de ce nouveau type de protection.
Selon
le Dr Papa Salif Sow, membre de l'équipe du VIH à la Fondation Gates,
"l'analogie courante est que le port du préservatif, c'est comme prendre
une douche avec un imperméable. Un préservatif repensé qui permet de
surmonter la perte de plaisir serait une arme puissante" dans la lutte
contre les maladies sexuellement transmissibles.
Plusieurs
pistes vont donc être explorées pour fabriquer ce préservatif du futur.
La plupart des bénéficiaires de la subvention cherchent actuellement à
utiliser une autre matière que le latex. Les scientifiques de
l'Université de l'Oregon travaillent au développement d'un préservatif
ultra-mince fait de polymère de polyuréthane, une matière capable de
s'adapter à la forme qu'elle contient. Plus mince, le matériau agirait
comme une "seconde peau".
Même
idée du côté de l'Apex Medical Technologies, à San Diego, qui utilisera
sa subvention pour produire un préservatif masculin à l'aide des
fibrilles de collagène de tendons de vache. "La texture du collagène est
très semblable à la muqueuse (...) il ressemble beaucoup à la peau",
explique Mark McGlothlin.
D'autres bénéficiaires
ont pour objectif de révolutionner la manière d'enfiler le préservatif.
C'est ainsi qu'est né le "Rapidom", un préservatif qui se met à l'aide
d'un applicateur que l'on tire avec les deux mains et qui se détache une
fois la capote enfilée. "La séquence doit se dérouler logiquement et
naturellement", explique l'inventeur du Rapidom. Le produit doit d'ailleurs être testé dans des régions africaines "pauvres en ressources".
Read more at http://www.atlantico.fr/atlantico-light/sexe-bientot-preservatif-aux-tendons-boeuf-qui-ne-diminue-pas-plaisir-905173.html#QLixRTmtaoH1xPid.99
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